Merci à mon collègue. Ce matin, quand tu as parlé des routes dans ton allocution, on voit qu’il y a tellement d’investissements dans les routes dans le Sud, mais quand ça arrive aux routes comme la 11, la 17 et, encore pire, les routes secondaires comme, tu as mentionné, Dubreuilville—je peux penser à Hornepayne; je peux penser à la 655, la 144, que le monde du Nord utilise beaucoup—bien là, l’investissement n’est pas autant. J’ai aimé ton—quand on voit les cônes et on voit les poteaux. Ça, on voit ça souvent sur les routes secondaires.

J’aimerais entendre que l’investissement—et on sait qu’avec tout le développement du Nord, les ressources viennent du Nord; elles ne viennent pas du sud de l’Ontario. Et qu’on voit nos infrastructures, nos routes, nos ponts, tout ce qui est entouré pour ramener ces ressources-là dans le sud de l’Ontario, puis que le Nord soit oublié—j’aimerais entendre plus là-dessus.

Ce que je veux dire par ça : c’est de l’infrastructure dont on a besoin dans le Nord—nos routes, nos ponts, nos chemins. C’est ça qui nous donne accès à nos emplois. C’est ça qui nous donne accès à nos événements récréatifs. C’est ça qui nous donne accès à nos soins de santé. Puis, on ne les voit pas. On voit des pratiques qui ne sont pas idéales pour les gens du Nord.

Puis, je pense—il y a eu une demande. Ils vont être ici, là, dans une autre deux semaines : Good Roads. Good Roads vont être ici. Et dans leur demande, ils ont demandé que le gouvernement fasse une revue en général de l’infrastructure de tous nos chemins. Est-ce que nos chemins sont bâtis pour accommoder la transportation et puis les gens, les équipements qui sont en train d’utiliser nos chemins correctement aujourd’hui, avec les capacités qu’on a aujourd’hui? Ça, c’est une bonne suggestion que j’encouragerai ce gouvernement de prendre. C’est une bonne revue de tous nos chemins à travers la province.