J’ai une question pour le solliciteur général.

Vous savez, moi aussi, dans ma famille, on a une petite chienne, Eevee—l’animal à ma fille—qu’on adore et qui fait partie de la famille, comme tout le monde qui a des animaux qu’on aime tellement.

Ma question est surtout sur le renforcement, qui m’inquiète parce que, vous savez, ma région est très grande, très vaste, sans mentionner les communautés qui sont au Grand Nord. Vous l’avez même mentionné dans vos allocutions que quand les « puppy mills » sont là, ce n’est pas là que les familles vont chercher l’animal. Ils vont aller le chercher à une place qui est beaucoup plus propre et où ça ne paraît pas d’où ils viennent, les animaux. Et avec une région comme la mienne qui est tellement grande, tellement vaste, très souvent, ils vont se cacher—éloignés. C’est sur le renforcement que ma question est, pour comprendre comment on va pouvoir reconnaître mais aussi prendre ce monde-là qui prend avantage des animaux, qui fait souffrir des animaux.

J’aimerais vous entendre là-dessus. Comment peut-on renforcer ça pour protéger ces animaux-là?

And he’s right: Ontario is large. It’s very large. But the purpose of why we’re here today for third reading is to show our government’s absolute commitment in moving forward with animal welfare protection legislation that sets a tone and a standard of animal welfare, and this is exactly the next iteration.

To my colleague, I respect very much the fact that northern Ontario is very large. The answer to his question is that we will continue to move forward incrementally and to build out animal welfare services, just as it started with the Deputy Premier when she was Solicitor General. We are going to continue to build it out.